Astreinte contre la CIPAV : un remède à l’inexécution d’une décision de justice

Le Juge de l’Exécution de Paris a assorti un jugement rendu à l’encontre de la CIPAV, qu’elle n’avait exécuté que partiellement, d’une astreinte journalière de 250 € par jour de retard.

Il a également condamné la caisse à dédommager l’intéressé à hauteur de 5.000 € au titre de son préjudice moral et de 3.000 € au titre de ses honoraires d’avocat.