Dimitri PINCENT exerce comme avocat activiste depuis 2005.
C’est en première année de faculté, en 1997, qu’il s’engage comme juriste aux côtés d’étudiants sans-papiers et de demandeurs d’asile. Il travaille bénévolement au service juridique de l’association FRANCE TERRE D’ASILE puis en tant que salarié chargé de la formation de travailleurs sociaux et de l’accueil des Kosovars (1999). Ses premières expériences en cabinet d’avocats se font auprès d’avocats spécialisés dans la défense des demandeurs d’asile et des réfugiés.
À l’obtention d’un master de droit européen (Paris I La Sorbonne) en 2003, Dimitri PINCENT travaille pour différents avocats en droit du travail, droit de la sécurité sociale, droit des marques, droit commercial et droit fiscal.
Sa première collaboration d’avocat (2005-2007) l’amène à intervenir en droit du travail aux côtés de groupes internationaux (banques, industries, distribution), sur des missions de conseil et de contentieux. Dimitri PINCENT s’aide alors de ses expériences de salarié acquises depuis son adolescence sur une multitude d’emplois peu qualifiés : jardinier, serveur (en France et à l’étranger), manutentionnaire, agent de production à la chaîne, libraire, vendeur, etc. Il mène de bout en bout, pour le compte de l’entité française d’un groupe, une affaire internationale impliquant un « salary-split » suspecté d’avoir été conclu de manière frauduleuse en Irlande.
En parallèle de ces dossiers de droit du travail, Dimitri PINCENT défend un collectif d’artistes de l’Est parisien contre la Ville de Paris en maniant le droit administratif et le droit des marchés publics.
Sa seconde collaboration (2008-2014) combine activité pénale, en défense devant juges d’instruction, Tribunaux correctionnels et Cours d’assises et une activité contentieuse dense et offensive en droit immobilier aux côtés de promoteurs immobiliers et de marchands de biens. Également avocat de détenus, il fait condamner l’Etat pour sa commercialisation de « pastilles chauffantes » en prison. Dimitri PINCENT assiste, en défense, des dirigeants d’entreprises, en droit pénal des affaires.
En 2012, il mène son premier contentieux de masse (1.200 clients) à l’encontre de tours-opérateurs organisateurs de voyages sportifs, en lien avec l’annulation cette année là du marathon de New-York provoquée par l’ouragan Sandy.
À la tête de son propre Cabinet en 2014, Dimitri PINCENT développe un premier contentieux sériel en sécurité sociale (assurance vieillesse) à l’encontre de la caisse de retraite CIPAV (1.000 clients).
Il accepte un premier autre contentieux sériel, cette fois en droit financier, pour 250 investisseurs non avertis cherchant à engager la responsabilité des conseillers en gestion de patrimoine commercialisateurs du placement toxique ARISTOPHIL.
Dimitri PINCENT et son équipe ne cessent pas d’opérer sur des contentieux complexes en droit du travail (défense de PME, de cadres-dirigeants ou de haut niveau et de journalistes), droit immobilier (promotion immobilière), droit commercial, responsabilité de l’Etat, droit pénal, etc.
Dimitri PINCENT mène le Cabinet vers des contentieux à fort enjeu, sériels ou non, avec un engagement élevé.
En sécurité sociale, Dimitri PINCENT s’investit pour les 300.000 auto-entrepreneurs libéraux victimes du trucage de leurs droits à retraite. Il se mobilise aussi en faveur des 200.000 artistes-auteurs dont la caisse de retraite (Sécurité Sociale des Artistes Auteurs, anciennement AGESSA) n’a pas traité convenablement les comptes individuels de retraite.
En droit financier, qu’il s’agisse de produits non régulés ou régulés, l’équipe constituée autour de Dimitri PINCENT offre des solutions transversales sur tous les interstices d’une affaire, avec un souci constant d’efficacité et d’audace (responsabilité civile et pénale des émetteurs et intermédiaires de toutes natures, restructuring, voies d’exécution, etc.).
Dimitri PINCENT ambitionne de porter PINCENT AVOCATS au rang de meilleur cabinet en contentieux sériel multi-cartes.
Pour le contacter directement : d.pincent@pincent-avocats.com